Il y a cinquante ans - c’était le 18 janvier 1961 - une nouvelle usine naissait à Wiltz.
Elle portait le nom d’Eurofloor. Si ce nom évoquait pour certains, selon sa prononciation, le nom de fleur, la naissance d’Eurofloor était pour Wiltz un signe d’espoir après la disparition de sa légendaire "Lederfabrik IDEAL » qui avait apporté travail et prospérité à Wiltz et sa région.
C’était là un challenge important pour Eurofloor et ses "mères" successives : Balamundi, Sommer-Allibert, Tarkett. Ce challenge a été pleinement assumé même si la société a été amenée, contre son gré, à trouver hospitalité à Lentzweiler.
Vous êtes nombreux qui avez contribué à la pérennisation de notre société par votre travail, votre esprit d’initiative et d’inventivité, par votre dévouement et votre attachement à la société mais aussi par le climat social constructif qui n’a cessé d’y régner.
N’est-ce point un beau bail qui dure depuis 50 ans ! N’est-ce point un moment pour nous revoir, pour échanger quelque peu ce qui nous est commun !
Le Comité : EUROFLOOR Revival
Comme suite à cet appel, nombreux sont ceux qui ont marqué leur intérêt pour une rencontre à l'occasion des 50 ans de la constitution d'Eurofloor. Celle-ci se tiendra donc le 14 octobre prochain. Les participants ont été informés personnellement par courrier du programme de cette journée qui débutera par le dépôt d'une gerbe devant le monument de la grève générale de 1942.
Ce monument est évoqué ci-dessous dans le commentaire que nous a fait parvenir Louis Boigelot.
Lorsque j’ai franchi pour la première fois le portail d’Eurofloor en juin 63 (C’étais pour rencontrer Monsieur Franck en vue d’une embauche éventuelle) j’ai été étonné par le Monument à la Grève en évidence sur la loge des portiers.
RépondreSupprimerPlus tard, les explications de Josy Mander (et d’autres) ont remplacé mon étonnement par de l’admiration émue.
C’était un gage de la volonté farouche de nos tanneurs de se reconvertir, de faire revivre les murs de leur usine et ceux de Wiltz et surtout ramener le goût de vivre à leur famille.
Je n’ai pas de photo